
Lilianof n’écrit pas pour vendre des livres. Il préfère naviguer à contre-courant des valeurs de ce siècle (à supposer que ce siècle ait des valeurs !)
En vers ou en prose, théâtre, poésie, roman (un seul, mais en sept volumes), contes et nouvelles, la Bible est sa principale source d’inspiration.
L’écriture n’est ni son métier ni son ministère, c’est un violon d’Ingres qui lui permet, en plus du plaisir, de témoigner de sa foi.
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Le Vert (rondeau engagé)
Le vert, dit-on, d’espoir est la couleur.Il en est un, si merveilleux hâbleur,Un comédien fort en bouffonnerie.Vert est son nom, étrange allégorie.C’est un voyou misérable, un voleur.Applaudissez ce héros cajoleur,Accordez-lui des fusils pour ses fleurs,De beaux canons briqués pour la tuerie,Au Vert… Décorons donc ce barbu de valeur,Tueur d’enfants, mais séduisant parleur.Il expédie, face à…
À qui la faute ?
Ballade heptasyllabique Le signe ч. Est un poinr d’ironie à l’attention des lecteurs qui comprendraient tout au premier degré. Le monde tombe en débris,Nous ne voyons que misère.Le fruit sur l’arbre pourrit.Le goudron dans les rivières,La chaleur qu’il faut subirEt les tremblements de terre :C’est la faute à Vladimir ч. Le grillon qui me nourrit,Le criquet dans…
Qu’y a-t-il au menu, des cailles ou de la manne ?
Les enfants d’Israël mangèrent la manne pendant quarante ans, jusqu’à leur arrivée dans un pays habité ; ils mangèrent la manne jusqu’à leur arrivée aux frontières du pays de Canaan. Exode 16.35 La manne cessa le lendemain de la Pâque, quand ils mangèrent du blé du pays ; les enfants d’Israël n’eurent plus de manne, et ils mangèrent…
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